Trop beau, en effet, ces effondrements qu'ils peuvent provoquer pour s'offrir à bas prix les dépouilles, entre autres.
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Trop beau, en effet, ces effondrements qu'ils peuvent provoquer pour s'offrir à bas prix les dépouilles, entre autres.
Rédigé à 20:26 | Lien permanent | Commentaires (1)
Tout y est.
Rédigé à 19:21 | Lien permanent | Commentaires (2)
"En voilà une idée qu'elle est bonne" !
Aujourd'hui sur Yahoo! Ce mardi 23 septembre 2008 :
Devant une assemblée de grands noms de Wall Street, Sarkozy a demandé des « sanctions » contre « les responsables du désastre » financier. ...
Chiche ! Commençons par appliquer ça dans notre beau pays.
Enfin un soutien de poids aux propositions de Trevor Narg !
"TOUS POLLUEURS", l'arnaque
...
Qui va payer en effet la réparation des dégâts ?
Les responsables qui se sont enrichis en les provoquant,
qui souhaitent continuer en les "réparant",
ou bien les victimes qu'ils culpabilisent
avec "tous pollueurs" ?
La question est posée.
Pollueurs, "le MEA-CULPA"
...
Enfin ouvert le temps du changement et de la réparation,
les moyens existent : prise de conscience, volonté,
richesse accumulée en polluant.
Ne reste qu'à consacrer cette richesse à la dépollution,
à réunir les acteurs concernés pour "le MEA-CULPA",
l'acte responsable, décisif pour le retour
du courage, de l'exemplarité, de la confiance.
De l'optimisme !
"LE CRIME CONTRE L'AVENIR"
...
Si les acteurs de ces destructions purent l'ignorer un temps, le MEA-CULPA,
persévérer constituerait une atteinte irréversible délibérée.
Une atteinte vitale, un crime. Un "CRIME CONTRE L'AVENIR",
sans frontière et imprescriptible par nature ?
Par leurs représentants, aux humains d'en décider !
La préservation de l'avenir n'est-elle pas L'OBLIGATION PREMIERE de l'espèce
capable de le mettre en péril ?
Pour ce soutien merci,
mais n'en restons pas là.
Mieux, ne pas attendre
les désastres
pour nous en préserver.
Rédigé à 11:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le libertalisme n'est pas né d'un jeu de mot. Son origine se trouve dans 5021 l'autre monde, premier roman de Trevor Narg.
Dans cet extrait, page 124 :
"-Leur origine était controversée, même s’il restait incontestable que ces émissions avaient cru avec l’activité humaine. Et son emballement surtout. Le mode de vie de l’époque dominé par la consommation et la société industrielle qu’elle prolongeait, toujours plus d’achats pour toujours plus de production et de travail donc de pouvoir d’achat, avec leurs transformations et leurs rejets longtemps incontrôlés, toujours plus nocifs. Deux des fondements essentiels, avec la guerre, de la société moderne née en Europe, étendue à tout le Nord occidental, puis vers l’Est. Il s’agissait de servir les intérêts économiques de ces pays et de leurs populations, d’accentuer leurs avantages.
...
-Ceci en soi était louable. Mais, dans l’accélération du progrès, vint le temps d’une gestion plus spéculative, l’argent roi, plus que jamais. Plutôt que de le faire fructifier par des idées et du travail comme au bon vieux temps de l’industrie, l’utiliser à s’approprier ce qui pouvait profiter vite, avec le minimum de risque. Entre autres les biens publics, le fruit du travail et des investissements des générations de citoyens constituant leur patrimoine, celui des pays. Avec le soutien de ceux qui auraient dû préserver ce patrimoine au lieu d’inciter à en disposer, la compétition internationale mise en avant, peut-être aussi en récompense ou pour combler des déficits, des largesses électorales. La privatisation des biens publics. Accompagnée de surcroît de l’affaiblissement des règles qui limitaient les risques d’abus de la société industrielle, puis de la société de consommation, des règles de modération acquises au fil du temps avec le monde du travail. La porte ouverte à bien des excès, au nom du progrès, de la liberté nécessaire à son développement. Oui, mais c’est la liberté intégrale réclamée par et pour ceux qui en tiraient profit qui fut obtenue, le ‘libertalisme’, une contraction évocatrice. Pourquoi dans ces conditions se soucier du plus grand nombre et de l’environnement? Et ainsi s’installa un pouvoir économique de moins en moins contrôlable, de plus en plus puissant. Les effets n’avaient pas tardé, frontières ouvertes surtout, dans une mondialisation sans freins ni scrupules, de plus en plus efficace pour les uns, ravageuse pour les autres, indifférente aux alertes, aux cris d’alarmes. À partir de là, n’était-ce pas trop tard? "
Rédigé à 10:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le libertalisme, capitalisme financier ?
- Oui, spéculation, mais pas seulement :
- irresponsable aussi : la crise, et la suite,
- avec ses soutiens, ses complices politiques,
- qui ont vidé le patrimoine national en le "privatisant",
- qui ont dérégulé, permettant abus et dérives,
- qui sauvent aujourd'hui les coupables en "nationalisant",
- par pragmatisme, le contraire de ce qu'ils prêchent,
- qui font encore payer les pauvres au profit des riches,
- qui provoquent des crises et en prennent prétexte
- pour justifier leurs méfaits, les sacrifices demandés,
- qui récompensent les fautifs, entre autres injustice,
- qui "sauvent" le court terme à crédit, au dépend de l'avenir,
- qui exploitent la panique, l'émotion formatée
- par les médias, accaparés par les libertalistes
- qui finiront par présenter leur échec en victoire,
- outil de manipulation et de désintégration sociale,
- aux mains d'une minorité mondialisée,
- bien entourée et aux moyens considérables
- sans cesse alimentés, et utilisés avec habileté,
- avec distribution de "miettes" pour racoler et diviser,
- ni capitaliste ni libéral, n'en retenant que ce qui le sert,
- il nuit au travail et à la liberté, en prétendant le contraire,
- véritable fléau, magistralement installé par et pour l'argent,
- utilisant sans scrupules, violence, religion, communication...
- la peur pour s'implanter et se maintenir.
Jusque-là avec succès. Inéluctablement ? Jusqu'à quand ?
La mondialisation actuelle en est le fruit, la crise financière de ce milieu de 2008 une manifestation significative qui l'illustre assez bien. Dérive du capitalisme organisée depuis les années 1970, le LIBERTALISME, "capitalisme libertaire", la contraction créée par Trevor Narg dans son anticipation, 5021 L'AUTRE MONDE.
Rédigé à 15:30 | Lien permanent | Commentaires (0)
De plus en plus de retraites à payer, les rendements financiers devaient bien augmenter ! Un expert le dit, génie de la connaissance passée, présente et à venir, que ne l'a-t-il fait plus tôt ? Présidant un temps d'une banque européenne et incitant aujourd'hui à poursuivre les "réformes" en cours (Europe1-17.9.08), la préférence des retraites par capitalisation aux retraites par répartition vient pourtant de faire ses preuves !
En tout cas, d'autres disent que cette "grande crise" est dûe à la "dérégulation", à l'autorégulation des banques (F3-18.9.08), et autres dérives du LIBERTALISME dénoncées dans 5021 L'AUTRE MONDE de Trevor Narg.
Pourvu que le scénario n'aille pas à son terme, jusqu'au grand bogue général.
En attendant, alors que de plus en plus ont besoin de "l'aide alimentaire" pour subsister, monter du doigt les vieux, il faut oser !
Rédigé à 11:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Jusque là notre économie était assez forte pour y faire face. Dit et répété assez pour que ce soit acquis, dans les médias, dans les esprits. La ministre de l'Economie peut donc lier aujourd'hui le chômage à la crise, ce sera bientôt un déficit, puis un autre, l'échec n'aura qu'un seul responsable, la crise.
Rédigé à 10:27 | Lien permanent | Commentaires (0)
Et si Benoît XVI avait lu Trevor Narg !
Deux exemples, lors de la visite du Saint-Père à Paris le 12 septembre 2008 :
- la liberté,
Benoît XVI : "L'absence de liens et l'arbitraire ne sont pas la liberté, mais sa destruction."
"La liberté c'est la responsabilité" ( 5021 l'autre monde - page 271 )
- l'écocalypse,
Benoît XVI : "Le travail et la détermination de l'histoire par l'homme sont une collaboration avec le Créateur, qui ont en Lui leur mesure. La où cette mesure vient à manquer et là où l'homme s'élève lui-même au rang de créateur déiforme, la transformation du monde peut facilement aboutir à sa destruction."
"... l'idée de vie,... l'anomalie, la monstrueuse excroissance en voie de disparition... en accéléré, poussée par d'autres forces, incompréhensibles, le choix d'un créateur et de ses créatures, le droit qu'ils sont arrogé d'en disposer, à leur convenance. A petit feu, d'avidité en souillures, le dérèglement, la dévastation, ou dans la brutalité, l'affrontement, le feu fracassant des armes..." ( 2053 le réveil - page 209 )
Mais à chacun son interprétation.
Rédigé à 17:08 | Lien permanent | Commentaires (0)
"La recherche de Dieu, fondement de toute culture"
Rédigé à 09:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pape à Paris, pourquoi pas ?
depuis que la religion existe, ce n'est que guerres sur Terre ?.
Dans 5021 l'autre monde, Trevor Narg y consacre un chapitre,"Se priver de religion, une folie" entend-t-on d'un côté.
Pour qui ? En tout cas les gens de pouvoir et les va-t-en guerre ne peuvent qu'applaudir.
De l'autre, on ne trouverait, hors d'elle, qu' "arbitraire subjectif" et "fanatisme".
"Folie", arbitraire", "fanatisme", que de générosité et d'apaisement !
Rédigé à 09:45 | Lien permanent | Commentaires (0)