Le libertalisme, capitalisme financier ?
- Oui, spéculation, mais pas seulement :
- irresponsable aussi : la crise, et la suite,
- avec ses soutiens, ses complices politiques,
- qui ont vidé le patrimoine national en le "privatisant",
- qui ont dérégulé, permettant abus et dérives,
- qui sauvent aujourd'hui les coupables en "nationalisant",
- par pragmatisme, le contraire de ce qu'ils prêchent,
- qui font encore payer les pauvres au profit des riches,
- qui provoquent des crises et en prennent prétexte
- pour justifier leurs méfaits, les sacrifices demandés,
- qui récompensent les fautifs, entre autres injustice,
- qui "sauvent" le court terme à crédit, au dépend de l'avenir,
- qui exploitent la panique, l'émotion formatée
- par les médias, accaparés par les libertalistes
- qui finiront par présenter leur échec en victoire,
- outil de manipulation et de désintégration sociale,
- aux mains d'une minorité mondialisée,
- bien entourée et aux moyens considérables
- sans cesse alimentés, et utilisés avec habileté,
- avec distribution de "miettes" pour racoler et diviser,
- ni capitaliste ni libéral, n'en retenant que ce qui le sert,
- il nuit au travail et à la liberté, en prétendant le contraire,
- véritable fléau, magistralement installé par et pour l'argent,
- utilisant sans scrupules, violence, religion, communication...
- la peur pour s'implanter et se maintenir.
Jusque-là avec succès. Inéluctablement ? Jusqu'à quand ?
La mondialisation actuelle en est le fruit, la crise financière de ce milieu de 2008 une manifestation significative qui l'illustre assez bien. Dérive du capitalisme organisée depuis les années 1970, le LIBERTALISME, "capitalisme libertaire", la contraction créée par Trevor Narg dans son anticipation, 5021 L'AUTRE MONDE.
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