Leur avait-on laissé d'autre choix que de se soumettre à des injonctions hypermédiatisées ?
"Les ‘sommets de la Terre’ se succédaient, répétant de décennie en décennie les mêmes bonnes intentions, devenues vaines, suspectes presque. Il avait fallu que les pays pauvres commencent à polluer eux aussi pour que les riches décident de passer aux actes, de demander des efforts. Sans pour autant changer. Ainsi à appauvrir toujours les mêmes, toujours plus, à accentuer les injustices, les frustrations et les ressentiments aux réactions parfois brutales, les puissants finissaient par se fragiliser. Dans l’illusion du court terme et de la réussite, dans la spirale de pouvoirs habiles, à défaut de vision d’avenir, de vision humaniste."
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.