Que de précautions pour préserver à présent le « voyou » (selon son avocat) Salah Abdeslam, impliqué dans les attentats du 13 novembre à Paris, sauvé puis livré par les Belges après les attentats de Bruxelles du 22 mars 2016. Une vedette médiatisée aujourd’hui en France. D’autant plus surpren
ant que pour tous ses attentats précédents depuis ceux de Merah en 2012, les assassins en ont été tués par les services de sécurité alors qu’ils auraient pu être arrêtés (au besoin blessés aux jambes seulement comme Abdeslam par la police Belge) : Mohamed Merah, Chérif et Saïd Kouachi (*), Amedy Coulibaly notamment.
* Souvenons-nous sur les écrans, leur sortie du massacre, tranquillement avant que recule la voiture de police et qu’ils traversent Paris sans arrestation : Voir cette photo
Leur interrogation aurait pu obtenir des informations utiles à la sécurité du pays. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? La politique sécuritaire en aurait-elle pâti, ainsi que ses effets, tant en France qu’en Afrique et au Moyen-Orient ?
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